Une étude menée par le SGGA et le Conservatoire botanique du Massif central a commencé
cette année et se poursuivra jusqu’en 2024. L’objectif est double, améliorer les connaissances botaniques sur certains secteurs méconnus et positionner des capteurs de températures pour mieux comprendre les changements climatiques à venir. La végétation des falaises est en première ligne, les espèces sont
très adaptées aux conditions extrêmes de chaleur et de sécheresse mais pourraient atteindre
leurs limites dans les années à venir. Les capteurs de température et d’humidité du sol sont
installés pour minimum 10 ans et permettront de de mieux documenter les réflexions sur ce
sujet complexe.